Il
me semble l'avoir
aperçue,
elle
se cachait derrière
l'arbre,
même
mal vêtue,
je
l'ai reconnue,
elle
semblait attendre.....
Attendre
que j'ouvre
ma
porte,
pour
l'inviter à entrer,
elle
avait peur que je
la
gronde
pour
m'avoir quitté.
j'ai
ouvert mes bras,
elle
s'est blottie contre moi.
Elle
a regagné sa place,
son
fauteuil attendait
et
avec une larme
elle
m'a remercié.
Le
plus content des deux,
c'était
moi,
j'étais
enfin heureux,
car
je pleurais parfois.
Elle
avait un cahier,
qu'elle
gardait précieusement,
avec
tous les jolis mots
dedans.
Elle
l'a posé sur la table,
en
me disant :
j'en
ai mis d'autres
tu
vas les découvrir
en
écrivant.
ORSO
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