samedi 18 mars 2017

NOTRE CHAMP DE BATAILLES



C’était un grand champ,
vieux jardin abandonné,
où tous les enfants
venaient  y jouer.

Il y avait le squelette
dans vieil amandier,
qui tous les printemps
risquait une fleur,
il y avait dans ce champs :
des rires et des pleurs.
Même l’hiver sous la neige,
lorsque il changeait de couleur,
c’était des batailles,
c’était le bonheur.

J’ai voulu revoir cet endroit,
gardé en mémoire,
je suis retourné voir :
notre champs de batailles.

J’ai cherché longtemps,
avant de le retrouver,
il n’y avait plus de champs,
plus de vieil amandier,
que des maisons,
tout un beau quartier.

Voyant ma déception,
un vieux monsieur
il est venu vers moi,
que cherches-tu Paul?
j’étais là avec toi,
te souviens-tu de moi?.
tu ne me reconnais pas?
je suis François,
c’était le bon temps…..

ORSO LE 18 MARS 2017









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