Ce matin, ce n’est pas un
poème, mais une très belle histoire que
je voulais écrire depuis
longtemps, je pensais en faire une poésie,
mais je n’arrive pas à
bien la raconter, alors je vous la présente comme un récit pour bien vous l’expliquer.
Elle habitait Nice, elle avait un stand sur le marché et ne vendait que de très beaux fruits, elle savait où les acheter et bien les présenter, aussi ses clients étaient toujours satisfaits.
Elle habitait Nice, elle avait un stand sur le marché et ne vendait que de très beaux fruits, elle savait où les acheter et bien les présenter, aussi ses clients étaient toujours satisfaits.
Elle venait souvent voir sa sœur Angèle qui habitait Artignosc, c’est là que je l’ai rencontrée.
Nous étions devenus des
amis grâce à la poésie.
Elle écrivait des poèmes
sur la vie. J’en ai gardé en souvenir.
Parmi ses clients, il y
avait une institutrice qui venait régulièrement et qui était devenue son amie.
Elle lui avait raconté un
peu sa vie de solitaire et lui dit que
pendant ses moments de repos, elle écrivait des poèmes.
C’était une institutrice
dans un petit village pas loin de la ville,
de Nice et avait un peu
de liberté pour enseigner.
Elle lui avait raconté,
qu’avec ses élèves, elle parlait souvent de poésie et les enfants en
demandaient toujours.
Alors Marinette lui en
donna quelques-uns des siens.
Un matin, elle a vu venir
devant son étal, la maitresse avec cinq enfants qui lui ont récité en cœur, un de
ses poèmes.
-Paul, ce moment a été le plus beau de ma vie, je n’ai pas pu
retenir mes larmes et j’ai embrassé ces enfants en leur offrant mes plus beaux
fruits.
Marinette est partie trop
tôt, elle avait surement encore à écrire.
Orso
Orso
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