Je t'ai parlé du printemps,
de l'amour, la nature,
des oiseaux, de leurs chants,
Sans oublier les vagues
de la plage, de l'eau,
ni ces belles images
Tous ces moments heureux
que j'ai décrie pour toi,
m'ont permis de voir mieux
Même d'aimer la pluie,
de voir tomber ses gouttes,
d'apprécier, aujourd'hui
tous ces bruits que j'écoute.
Il me faut, maintenant,
gommer les tableaux noirs,
n'écrire, dans mon élan,
que des lettres d'espoir.
Orso le 15 avril 2001
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