Lorsque
j’ai quitté la ville,
pour
vivre chez elle,
je
ne savais pas
qu’elle
était aussi belle.
Le
premier matin, à mon réveil,
j’ai
voulu voir cette merveille :
elle
était couverte de rosée
et
de toiles d’araignées
pour
se protéger.
J’ai
eu peur de son silence,
je
regardais autour de moi,
j’étais
seul dans cet espace,
je
frissonnais de joie.
Puis,
un chant d’oiseau,
celui
d’une cigale,
le
bruit d’un ruisseau :
c’était
son langage.
C’est
avec ces petits bruits
qu’elle
s’exprime,
c’est
avec ses parfums
qu’elle
vous enivre.
J’ai
vécu longtemps
tout
près d’elle,
j’y
pense souvent,
car
elle me rappelle
de
délicieux moments.
Orso
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