JE
REGARDE
A
travers les gouttes
qui
coulent
sur
les carreaux,
tous
ces gens qui courent
à
leur boulot.
J'ai
terminé le mien,
je
savoure ma retraite,
l'hiver
bien au chaud,
j'écris
des poèmes.
Ils
ne sont pas tous
jolis,
parfois
même un peu
drôles,
j'occupe ma vie :
avec
mes écrits.
Je
ne savais plus où
les
ranger,
mes
tiroirs étaient pleins,
j'ai
ouvert ma fenêtre,
je
les laissent s'envoler.
Ils
atterrissent, un peu
partout,
il
y plein de gens
qui
les lisent,
il
y en a même un,
appelant
de Russie,
qui
m'a dit :
merci
pour votre
poésie.
On
vient de me dire :
j'en
suis étonné :
qu'il
y en avait plus de
65.000
qui
les lisaient.
Alors
je cherche
et
je continu,
car
sans mes poèmes,
je
suis perdu.....
Orso
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