Je
les écrasais presque,
juste
un coup d'oeil en
passant,
aujourd'hui
je m'arrêtes,
car
j'ai tout mon temps.
Je
veux vous parler
de
ces fourmis,
celles
qui travaillent
nuits
et jours,
on
casse l'entrée
de
leurs trous......,
elles
réparent toujours....
Je
me suis assis,
sur
ce tronc,
j'ai
observé longtemps
ces
ouvrières,
qui
sans un mot ;
chaque fois,
réparent
l'entrée
Ce
n'était le paradis,
on
m'a dit qu'elles vivaient
dans
des galeries.
Si,
un jour,
vous
rencontrez
une
fourmilière,
faites
un léger détour,
n'écrasez
plus leur entrée
s'il
vous plais......
ORSO
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