Les regrets
Je
fouille dans ma tête
et dans
ces pages brulées,
où
je racontais, peut-être,
mes
souvenirs, mes regrets.
Mes
souvenirs merveilleux,
mes
regrets inutiles,
des
moments très heureux
et ces
années futiles.
Parmi
tous ces écrits
qui
sont partis vers toi,
certains
étaient des cris
qui
s'échappaient de moi,
ils
ne pouvaient aller
ailleurs
qu'a ton adresse,
même
si tu pleurais
en
lisant ma détresse.
Si
je vidais mon corps
de
ces mauvaises images,
c'était
pour écrire encore
des
choses plus suaves.
Mais
le temps a passé,
il
faut faire le bilan
et
tirer un grand trait
sur
ces mauvais instants.
Pardon
pour ces pleurs
que
tu as versés pour moi,
laissons
passer les heures,
laissons
passer les ans.
Orso
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