L’ADIEU A LA NATURE
Je suivais le camion
qui transportait ma
vie
ailleurs,
rétroviseur.
Je voyais les maisons
disparaître,
le clocher de l’église,
Je revoyais les moments
de bonheur,
mes belles balades,
les parfums et les fleurs
Je venais de passer
vingt ans chez lui,
sans me juger
J’ai voulu, par ce mot,
rendre hommage
au Verdon,
à la Nature et
ce à charmant village.
ORSO LE 15 Mars 2003
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