TES LARMES
Durant ma longue vie,
j’ai vu couler
beaucoup de larmes,
avant, quand j’étais petit,
puis adolescent,
maintenant je suis
grand.
Elles n’ont pas la même
couleur,
ni la même importance,
qu’elles arrivent d’un malheur,
où d’une réjouissance.
Elles n’ont pas le même goût,
elles sont différentes,
lorsque près de toi,
pour te consoler,
je sèche tes larmes,
avec un baiser.
Elles soulagent parfois,
un trop plein de malheurs,
mais je reste près de toi
pour comprendre tes pleurs.
Les larmes sont un trop plein
qui déborde,
car le cœur ne peut les retenir,
pleures contre moi,
ma douce colombe,
je serai toujours là
pour te faire sourire.
ORSO LE 8 MAI 2017
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