jeudi 15 décembre 2016

CE VIEUX BONHOMME

CE VIEUX BONHOMME

Qui serai-je sans mes écrits,
que serai-je sans mes poèmes,
qui connaîtrai ce vieux flétri,
qui ose encore dire :
 je vous aime.
Il utilise la poésie
pour se faire connaitre
et tout ce qu’il dit
s’envole par la fenêtre.
Ses lettres
emportées par le vent,
 dans leur course folle,
arrivent, maintenant
sur tous les continents.
Celui qui tient les comptes,
m’a dit, même :
il y a 30.000 personnes
qui ont lu tes poèmes.

Alors, il n’est plus seul,
il sait qu’on pense à lui,
on lie ses recueils
remplis de poésie.

Orso le 9 décembre 2016

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