Sont
partis sans connaitre
la
lumière, l'eau, le confort,
nous
ont laissé leur terre
digne
de tous ses morts.
Nous
arrivons derrière
en
trouvant à nos pieds
une
Corse très fière
d'avoir
tout conservé.
Conservé
les coutumes,
les
chansons de l'été,
conservé
la nature
de
cette ile de beauté.
La
vie dans nos villages,
car
je l'ai bien connue,
là-haut
dans la montagne
était
simple et ardue.
Les
costumes de velours,
que
les anciens portaient,
les
portaient tous les jours,
l'hiver
comme l'été.
Les
nouveaux arrivants,
estivants
de l'été,
profitent,
maintenant,
de
ce qu'ils ont hérité.
La
vie n'ai pas la même
que
lorsque j'y allais,
je
retrouvais ma grand-mère,
Lorsque
vous lirez ces lignes,
vous
devez, en leur mémoire,
respecter
et être dignes
de
la Corse et son histoire.
Encore
un petit mot,
avant
de terminer,
n'écoutez pas les ragots
qui sont racontés.
n'écoutez pas les ragots
qui sont racontés.
Orso le 2 novembre 2014
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