ADIEU
je pense à
vous, souvent,
je suis un
vieux bonhomme,
à la
ville, maintenant.
Je vous
dois mes belles
ballades,
parmi les
rameaux en fleurs,
et pendant
les automnes,
vos plus jolies couleurs.
Je vous
dois ma santé,
je respirais l’air pur
et mes
meilleures années,
tout près
de la nature.
Je vous
dois ma poésie,
c’est
là-haut qu’elle est née,
je dois
dire merci,
à vous qui
me lisez.
Je dois 20
ans de ma vie
a ce petit
village,
car
depuis, j’écris sur lui,
mes plus belles
pages.
Orso le 10
avril 2015
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