lundi 20 janvier 2014

A YVES

A YVES MONTANT
 
 
Arrêtez donc de mourir,
vous qui êtes la France,
ne les laissez pas partir
car nul ne les remplace.
 
Yves, tu nous a quitté,
comme une feuille morte,
sans bruit, d'un pas léger,
avec ce que tu emportes.
 
 
 
 
Avant toi, d'autres amis,
 Georges, Lino,
Coluche, Bourvil et d'autres,
sont partis, trop tôt
par la petite porte.
 
Chacun avait son espace,
dans ce merveilleux pays,
leurs cœurs, leur voix, j'en passe,
 
Quel vide il reste mes amis.
 
Orso le 10 novembre 1998
 
J'ai écris ce poème, le jour de sa mort,
il était, pour moi,
un homme formidable.
 

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